Mém. hist., chap. XXVIII, p. 6 r°). Nous avons reproduit ici le texte de cette inscription tel qu’il se trouve dans le second chapitre de l’ouvrage épigraphique intitulé Kin hie ling lang 金薤琳琅 .
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/e8/Inscription_Tsin_Memoires_historiques_V2a3_547.png/260px-Inscription_Tsin_Memoires_historiques_V2a3_547.png)
TRADUCTION
« Le roi par hérédité du pays de Ts’in se permet de présenter[1] un anneau rond fait avec un jade de bon augure et il charge son prieur ancestral Chao-kao d’exposer sa peine et de la dire à l’invisible Ta-tch’en-kou-tsieou, afin d’établir les crimes nombreux de Hiong-siang[2], roi de Tch’ou. Autrefois, notre ancien prince le duc Mou et le roi Tch’eng de Tch’ou avec sincérité ont uni étroitement leurs forces et ont eu les mêmes sentiments ; les deux pays n’ont fait, pour ainsi dire qu’un ; ils ont été liés par les mariages contractés. (Ces deux princes) se sont revêtus de vêtements noirs pour conclure, après s’être purifiés, une convention en ces termes :
« De génération en génération nos dix mille descendants devront se garder de se faire tort les uns