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et nous est complètement inconnue ;
la seconde est Ou-hien 巫咸, ou le sorcier Hien (cf. tome I, note 03.172) ;
la troisième est Ta-tch’en-kou-tsieou 大沉久湫, c’est-à-dire « l’ancien Tsieou où l’on s’enfonce profondément » ; c’est sans doute à ce génie du Tsieou, rivière du Kan-sou, que s’adressait le sacrifice célébré par les Ts’in à Tch’ao-no en l’honneur de l’eau profonde du Tsieou (cf.