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ta-hong-lou (n° XIV) qui assuma ainsi la principale attribution de l’ancien tchou-tsio-tchong-wei.

Subordonnés :

  • 1. tchang-hiu (titulaire et assistant) ;
  • 2. tou-choei ;
  • 3. t’ie-koan ;
  • 4. kieou ;
  • 5. Yong-tch’ou ; c’est-à-dire préposés aux cuisines des lieux saints de Yong (pour ces quatre dernières fonctions, il y a des chefs et des assistants).

En 113 avant J.-C., ou institua le san-fou-tou-wei et le san-fou-tou-wei-tch’eng.


XXVI. — Le hou-kiun-tou-wei (fonction des Ts’in) ; en 119 avant J-C., il fut mis sous les ordres du ta-se-ma (n° II).


XXVII. — Le se-li-hiao-wei, fonction qui existait autrefois sous les Tcheou, ne fut rétabli qu’en 80 avant J.-C. Il paraît avoir été le chef de la brigade des mœurs à la capitale.

Le Ts’ien Han chou réunit dans un seul paragraphe divers commandants militaires qui tous ont le titre de hiao-wei et qui furent institués par l’empereur Ou ; ce sont :

A. — Le tch’eng-men-hiao-wei garde les portes de la capitale et a sous ses ordres les se-ma des huit postes militaires et les heou, ou surveillants, des douze portes de la capitale.

B. — Le tchong-lei-hiao-wei commande, d’une part, aux troupes du camp du nord et, d’autre part, aux contrées occidentales.

C. — Le toen-ki-hiao-wei commande la cavalerie.

D. — Le pou-ping-hiao-wei commande aux soldats cantonnés aux portes du parc Chang-lin.

E. — Le yu-ki-hiao-wei commande aux escadrons de cavalerie étrangère qu’on avait formés avec les gens du pays de Yue qui s’étaient soumis à la Chine.

F. — Le Tch’ang-choei-hiao-wei commande aux