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(institué en 104 av. J.-C.) ;

  • 6. le k’i-ma-ling ;
  • 7. le tsiun-ma-ling.

Chacun de ces quatre officiers a un assistant.

8-12. Il y avait des surveillants, des chefs et des assistants pour les cinq fonctions appelées

  • 8. long-ma,
  • 9. hien-kiu,
  • 10. t’ouo-ts’iuen,
  • 11. t’ao-t’ou, et
  • 12. tch’eng-hoa.
  • 13. Les mou-che-yuan-ling s’occupent des chevaux qui sont répartis dans les six commanderies de la frontière ; ils ont chacun trois assistants.

14-15. Il y a un titulaire et un assistant pour les deux charges de

  • 14. mou-t’ouo, et de
  • 15. koen-ti.

En somme, le t’ai-pou avait entre ses mains toute l’administration des haras.


XIII. — Les t’ing-wei (fonction des Ts’in) sont à la tête de la justice. On distinguait le surveillant en chef, le surveillant de gauche et le surveillant de droite. En 144 avant J.-C., le nom de t’ing-wei fut changé en celui de ta-li ; mais, en 137, l’empereur Ou reprit l’ancienne dénomination.


XIV. — Le tien-k’o (fonction des Ts’in) doit s’occuper des seigneurs et des barbares soumis à la Chine. En 144, ce fonctionnaire fut appelé ta-hang-ling ; en 104, il fut appelé ta-hong-lou et ce nom lui resta. Il a un assistant.

Subordonnés :

  • 1. Le hing-jen ou voyageur ;
  • 2. le i-koan ou interprète ;
  • 3. le pie-ho (institué en 104 av. J.-C.).

Ces trois charges comportent chacune un titulaire et un assistant.