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Il a enlevé l’erreur ; il a fixé ce qu’il fallait faire ;

il n’y a rien qui ne se conforme à ses plans[1].


(4e strophe) La sagesse du souverain empereur

s’est rendue aux quatre côtés (du monde) pour les inspecter.

Le noble et le vil, l’honoré et le méprisé

n’ont point outrepassé leurs rangs.

Les méchants et les pervers n’ont pas été à leur aise ;

tous s’appliquent à la rectitude et à la bonté.

Dans les petites et dans les grandes choses, il a épuisé ses forces ;

il n’a point osé être paresseux ni oisif.

Au loin et au près il a dissipé les obscurités ;

il s’est appliqué spécialement à la dignité et à la majesté ;

Il a rendu régulières et droites la vertu et la fidélité ;

les affaires et les occupations ont une règle constante[2].


(5e strophe) La vertu du souverain empereur

a maintenu et affermi les quatre extrémités (du monde).

Il a exterminé les rebelles et il a supprimé les méchants ;

il a fait fleurir ce qui est profitable et il a rendu très grande la prospérité.

Son action modératrice s’exerce en observant les saisons ;

toutes les productions abondent et se multiplient.

Les têtes noires jouissent du calme et du repos ;

  1. Les rimes sont au jou-cheng de la seizième catégorie.
  2. Les rimes sont au p’ing-cheng de la dixième catégorie.