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Et le Che ki p’ing lin yuen pen par Tch’en Ouo tse, dont l’appellation était Tse-long CCXIX-1.

Enfin une troisième classe d’éditions comprend celles qui n’ont pas ou presque pas de commentaires. Parmi elles il faut faire une place à part au Che ki luen wen CCXIX-2 dont l’auteur, Ou Ts’i-hien, mourut une dizaine, d’années avant l’année 1686, date à laquelle sa publication vit le jour grâce à un certain Ou Hing-tsou ; cette édition présente l’avantage considérable pour un Européen d’être parfaitement ponctuée ; les notes, très courtes, ne portent jamais que sur la forme littéraire mais sont souvent d’un grand secours pour l’intelligence correcte du texte. — Nous apprécions moins un autre genre de ponctuation qui consiste à placer des séries de points le long des phrases où le style de l’écrivain est particulièrement remarquable ; dans les éditions de luxe, ces points sont de couleurs différentes suivant le genre d’admiration que veut manifester l’annotateur ; dans les réimpressions communes, les couleurs sont remplacées par les formes des points qui sont ou des cercles, ou des ronds noirs, ou des triangles, ou des virgules renversées ; en 1877, à Ou tch’ang (province de Hou-pé), on a republié par ce procédé économique les Mémoires historiques ponctuées par Koei Tchen-tch’oan CCXIX-3 et Fang Wang-ki CCXIX-4 sous le titre de Koei Fang p’ing tien che hi CCXIX-5.

Quant aux études critiques auxquelles ont donné lieu les Mémoires historiques, elles sont innombrables. Comme Se-ma Ts’ien a reproduit une grande partie du Chou king, on a souvent à invoquer son témoignage


CCXIX-1. 史紀平林原本 publié par 陳臥子 , appellation 子龍 , originaire de .

CCXIX-2. par

CCXIX-3. .

CCXIX-4. .

CCXIX-5. .