Page:Silvestre - Les Ailes d’or, 1891.djvu/223

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
206
LES AILES D’OR

Ah ! quand vous meurtrissiez, de votre main savante,
Sa couronne de pourpre et son feuillage vert,
J’ai, sous vos doigts cruels, comme une fleur vivante,
Senti saigner mon cœur à son cœur grand ouvert !