Page:Signoret - Vers dorés, 1896.djvu/78

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



Blonde, tu me souris vaguement, tu tressailles !
Nos cœurs royaux l’un pour l’autre ont battu longtemps.
A genoux ! Pour bénir nos blanches épousailles
Entre en son temple ému Monseigneur le Printemps !



janvier 92.