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FOINS COUPÉS


La csárda[1] de Zsuzsi Zana est remplie de musiques, de l’envolement des jupes et du tintement des éperons. La jeunesse du village fête le premier dimanche de mai.

Zsuzsi Zana, d’une gaieté bruyante, s’amuse avec son vingtième amant, un jeune gars dégourdi. Chacun tourne autour de sa « paire », celle qu’il mè-

  1. Cabaret : de là, csárdás, danse de cabaret.