Cette page n’a pas encore été corrigée
196
LE LIVRE DE LA POUSTA.
pensionnaire que celle-ci, un beau matin, trouvant la chose par trop ennuyeuse, partit comme le vent avec sa malle verte vers Nagy-Várad.
pensionnaire que celle-ci, un beau matin, trouvant la chose par trop ennuyeuse, partit comme le vent avec sa malle verte vers Nagy-Várad.