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LE LIVRE DE LA POUSTA.

pardessus qu’il me tendait ; il me gronda en disant que c’était lui qui répondait « de notre santé ». Si j’ai la moindre indisposition, il veille au seuil de ma porte sous la vérandah, ayant toujours un œil, une oreille sur moi.

Et je sais aussi que je n’ai jamais eu et que jamais je n’aurai de serviteur aussi fidèle qu’István Iványi.