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L’OFFRANDE DU VILLAGE


L’hiver dernier, mon pauvre serviteur Benedek étant mort à Palerme, les braves gens de Szabad Szent Tornya me firent écrire par le senior du village une lettre où ils me priaient de choisir parmi eux « quelqu’un qui m’accompagnât toujours et partout dans mes lointains et dangereux voyages ».

Cette offre m’émut beaucoup. Je l’acceptai, et à mon retour, six mois plus