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XI


Après un entretien d’une demi-heure avec mon père, je retournai dans ma chambre, mais je ne me couchai pas.

Je comptais que, pour être à cinq heures à la cabane de Vakh, il me fallait quitter la maison à quatre heures, c’est-à-dire que je n’avais plus que trois heures devant moi. Bientôt le prêtre Ludvig vint voir si je n’étais pas malade après ma course forcenée et si j’avais changé de vêtements. Le prêtre me conseilla de me coucher, mais il resta à causer avec moi plus d’une heure. Il me répéta en