Page:Siefert - Rayons perdus.djvu/121

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Mais, comme ces rayons à la nature morte
Se prodiguent en vain & ne fécondent rien,
Dans mon âme, la peine est aussi la plus forte :
Mon rire est un mensonge & l’amour le sait bien !


Janvier 18…