La séve descend aux racines,
La force abandonne les cœurs,
— Sur les vieilles tours en ruines,
Les geais poussent des cris moqueurs.
La force abandonne les cœurs,
Les bras tombent de lassitude.
— Les geais poussent des cris moqueurs,
Enhardis par leur solitude,
Les bras tombent de lassitude,
Les lendemains viennent boiteux,
— Enhardis par leur solitude,
C’est l’heure des trafics honteux