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KIOTO


Deux voies nous étaient ouvertes pour aller à Kioto, celle d’eau, par la rivière Fukugawa, et celle de terre par nos petites voitures. Nous préférâmes celle-ci, nous réservant de revenir par la rivière que nous aurions à descendre, ce qui serait plus agréable et plus prompt.

Depuis trois semaines que nous courions Osaka dans tous les sens avec nos mêmes bipèdes attelés à nos djïnrikichas,