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bent de l’arbre de mes pensées qui se secoue. Elles bruissent et s’attardent dans toutes mes allées qui sont veuves et traînent après elles des ombres qui semblent des crêpes très longs.

Maman, maman, il y a des baisers qui sont loin, remplace-les moi.

Tu es la meilleure, celle qui n’abandonne jamais. Je suis petit et tu me gardes.

Ne pleure pas…



Fin