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Lundi
Maman, ne pleure pas ; je ne souffre plus d’attendre le mal. Vois, je t’appartiens mieux aveugle !
Figure-toi que je suis petit, tout petit, que je ne connais pas la vie et que tu m’apprends à marcher. Il y a ta main que j’avais oubliée et que tu me redonnes. Elle est douce, ta main,