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ment, où m’ont jeté mes intrigues ! Je comptais, d’abord, m’insinuer dans les bonnes grâces de Lady Teazle, pour qu’elle ne me fît pas d’opposition auprès de Maria ; et j’en suis venu, je ne sais comment, à lui faire sérieusement la cour. Ma parole d’honneur, je commence à regretter de m’être donné tant de mal à gagner une réputation irréprochable ; car je me suis lancé ainsi à corps perdu dans un tas de friponneries dont je pourrais bien, finalement, ne pas me tirer. (Il sort.)




Scène III


Chez sir Peter Teazle.


Entrent Sir Oliver Surface et Rowley.

Sir Oliver. — Ah ! ah ! ah ! Ainsi mon vieil ami est marié, hein ?… une jeune femme sortie de la campagne…. Ah ! ah ! ah ! Qui eût dit qu’il aurait navigué si ferme et si longtemps dans les eaux de l’antique célibat, pour venir à la fin échouer sur le mariage.

Rowley. — Oui, oui, mais ayez soin, sir Oliver, de ne pas le plaisanter là-dessus : c’est son côté sensible, je vous assure, bien qu’il ne soit marié que depuis six mois.

Sir Oliver. — Alors, il y a juste la moitié d’un an qu’il a commencé sa pénitence !… Pauvre Peter !… Mais vous dites qu’il a complétement rompu avec Charles… Il ne le voit plus, n’est-ce pas ?