de mal au petit Premium. (Il passe.) Qu’y a-t-il, mon petit camarade ?
Joseph. — Comment ! il a donc été aussi chez vous ?
Charles. — Certainement, il y est allé. Ma foi, c’est le plus honnête petit… Mais voyons, Joseph, emprunteriez-vous de l’argent aussi, vous ?
Joseph. — Emprunter ! non !… Mais, mon frère, vous savez que nous attendons sir Oliver ici, d’un moment à…
Charles. — Pardieu, c’est vrai ! L’oncle Noll ne doit pas trouver le petit brocanteur ici, à coup sûr !
Joseph. — Cependant M. Stanley insiste…
Charles. — Stanley ! mais il s’appelle Premium.
Joseph. — Non, monsieur, Stanley.
Charles. — Non, non, Premium.
Joseph. — Enfin, n’importe… mais…
Charles. — Oui, oui, Stanley ou Premium, cela n’y fait rien, comme vous dites ; car je suppose qu’il a cinquante noms à son service, en dehors du café, où l’on respecte l’anonyme.
Joseph. — Morbleu ! voici sir Oliver qui frappe. Allons, je vous prie, M. Stanley…
Charles. — Oui, oui, s’il vous plaît, M. Premium…
Sir Oliver. — Messieurs…
Joseph. — Monsieur, au nom du ciel, allez vous-en !
Charles. — Oui, qu’il sorte, évidemment !
Sir Oliver. — Une telle violence…