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quitter… en parfaite santé, après un rapide voyage, et impatient d’embrasser son digne neveu.

Joseph. — Je n’en reviens pas !… William, appelez M. Stanley, s’il n’est pas trop loin.

Rowley. — Oh ! il est hors de vue, je crois.

Joseph. — Pourquoi ne m’avez-vous rien dit quand vous êtes entré avec lui ?

Rowley. — Je pensais que vous aviez affaire tous les deux ; mais il faut que j’aille prévenir votre frère et lui donner rendez-vous ici pour voir votre oncle, qui sera auprès de vous dans un quart d’heure.

Joseph. — Oui, c’est ce qu’il me dit. Ma foi, je suis étrangement ravi de son arrivée !(À part.) Il n’y eut jamais, à coup sûr, contre-temps aussi détestable.

Rowley. — Vous serez agréablement surpris de voir comme il a bonne figure.

Joseph. — Oh ! je suis ravi de l’apprendre… (À part.) Juste en ce moment !

Rowley. — Je vais lui dire avec quelle impatience vous l’attendez.

Joseph. — Allez, allez ; présentez-lui, je vous prie, mes devoirs respectueux et mes meilleurs sentiments. En vérité, je ne puis exprimer tout ce que je sens à la pensée de le voir. (Exit Rowley.) Assurément, son arrivée juste en ce moment est le plus cruel coup de la fortune adverse. (Il sort.)