ment changé depuis quelque temps que ses plus proches parents ne pourraient le reconnaître ! Ah ! ah ! ah ! parbleu… Ah ! ah ! ah !
Charles. — Ah ! ah !… vous êtes content de l’apprendre, mon petit Premium ?
Sir Oliver. — Non, non, pas du tout.
Charles. — Si, si, vous êtes content… Ah ! ah ! ah !… vous savez que cela vous arrange.
Sir Oliver. — Mais je me suis laissé dire que sir Oliver va arriver ?… Il y a même des gens qui prétendent qu’il est ici maintenant ?
Charles. — Allons donc ! Je dois certainement savoir mieux que vous s’il est arrivé ou non. Non, non ; comptez-y, il est en ce moment à Calcutta… n’est-ce pas, Moses ?
Moses. — Oh ! oui, assurément.
Sir Oliver. — Il est bien vrai, comme vous dites, vous devez le savoir mieux que moi. Cependant je tiens la nouvelle de très-bonne source… n’est-ce pas, Moses ?
Moses. — Oui, sans aucun doute !
Sir Oliver. — Mais, monsieur, comme je vois que vous avez besoin sur-le-champ de quelques centaines de livres… n’ayez-vous rien dont vous puissiez disposer ?
Charles. — Comment l’entendez-vous ?
Sir Oliver. — Par exemple, voyons, j’ai appris que votre père avait laissé une grande quantité d’ancienne argenterie massive ?
Charles. — Ah ! ciel… il y a longtemps qu’elle est partie… Moses peut vous renseigner là-dessus mieux que moi.
Sir Oliver, à part.. — Bonté divine ! tous les