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ration, à laquelle je me livrais, n’offrait que des dégoûts. Pendant mon premier essai, une sorte d’enthousiasme frénétique m’en avait dissimulé l’horreur ; mon esprit n’envisageait que le résultat de mon travail, et mes yeux n’étaient frappés que des progrès. Maintenant j’étais de sang-froid, et je succombais souvent devant l’ouvrage de mes mains.

Dans cette situation, adonné au plus odieux travail, plongé dans une solitude où rien ne pouvait détourner mon attention de la scène qui m’occupait, je devins inégal, je perdis tout repos, et j’éprouvai une irritation de nerfs. À tout moment je craignais de rencontrer mon persécuteur. Quel-