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le pont, et trouvai tous les matelots rassemblés d’un seul côté du vaisseau, et ayant l’air de parler à quelqu’un qui était dans la mer. En effet, un traîneau semblable à celui que nous avions vu auparavant, s’était dirigé vers nous, pendant la nuit, sur un large morceau de glace. Il était conduit par un seul chien en vie, et portait un homme auquel les matelots tâchaient de persuader d’entrer dans le bâtiment. Ce n’était pas, comme l’autre voyageur le paraissait, un habitant sauvage de quelqu’île inconnue, mais un Européen. Lorsque je parus sur le pont, le contre-maître lui dit : « Voici notre capitaine, il ne vous laissera pas périr au milieu de la mer ».