Holà, John Rugby ! John !
Voilà, monsieur.
Vous êtes Zohn Rugby, et vous être Zeannot Rugby. Allons, prenez votre rapière, et me suivez à la cour.
Elle est toute prête, monsieur, là, sous le porche.
Sur ma foi, ze tarde trop. Dieu ! qu’ay z’oublié ! Il y a dans mon cabinet des simples que pour rien au monde ze ne voudrais laisser derrière moi.
Miséricorde ! il va trouver le jeune homme là, et va-t-il être furieux !
Ô diable, diable ! qu’y a-t-il dans mon cabinet ?…
Scélérat ! larron !… Rugby, ma rapière !
Mon bon maître, calmez-vous.
Et pourquoi me calmer ?
Ce jeune homme est un honnête homme.
Qu’est-ce qu’un honnête homme peut faire dans mon cabinet ? Pas un honnête homme ne viendrait ainsi dans mon cabinet.
Je vous en supplie, ne soyez pas si flegmatique ; écoutez la vérité. Il est venu me trouver de la part du pasteur Hugh…