Mistress Gué ! Ah ! ma chère, votre mari a été repris par sa vieille manie, il arrive à la recherche de votre amant ; mais je suis bien aise qu’il ne soit pas ici.
Grand Dieu ! mistress Page, le chevalier est ici. Que faire ?
En ce cas, vous êtes une femme perdue, à moins que vous ne trouviez quelque moyen de le faire évader.
Hélas ! je ne connais pas de moyen, à moins que nous ne le remettions dans le panier encore une fois.
Non, je ne veux plus aller dans le panier. Je vais grimper dans la cheminée.
C’est par là qu’ils ont l’habitude de décharger leurs fusils de chasse.
Eh bien, je sortirai par la porte.
En ce cas, vous êtes perdu, vous êtes un homme mort.
Au nom du ciel ! trouvez n’importe quel expédient. Tout plutôt qu’un malheur !
Hélas ! je ne sais quel moyen employer. S’il y avait un vêtement de femme qui put lui aller, il pourrait mettre une robe et une mentonnière, et s’échapper ainsi.
Bonne idée. La tante de ma chambrière, Gillian de Brainford, a laissé une robe là-haut.
Et elle est tout aussi grosse que lui.
Oui, ça lui ira, ma parole.
Allons, venez avec moi, sir John, je vais vous habiller.
Venez, au nom du ciel ! n’importe quoi !
Entrez, je vous prie. Vous connaîtrez le motif… Eh bien, où allez-vous,