et trop inquiète — puisse vivre en paix. Il gardera le secret de notre union, — jusqu’à ce que vous vous décidiez à la rendre publique ; — et alors nous en ferons une célébration — digne de ma naissance. Qu’en dites-vous ?
— Je suivrai ce bonhomme, et j’irai avec vous ; — et, vous ayant juré fidélité, je serai à jamais fidèle.
— Montrez-nous donc le chemin, bon père ; et que le ciel resplendissant — marque de tout son éclat l’acte que je vais accomplir.
Maintenant, si tu m’aimes, laisse-moi voir cette lettre.
Bon monsieur Fabien, accordez-moi autre chose.
Tout.
Ne me demandez pas à voir cette lettre.
C’est comme si, après t’avoir donné mon chien, je te le redemandais en récompense.
Appartenez-vous à madame Olivia, mes amis ?
Oui, monsieur ; nous sommes de ses objets de luxe.