vu un homme de sa profession, de sa gravité et de son savoir, perdre ainsi le respect de lui-même.
Qui est-ce ?
Je crois que vous le connaissez : monsieur le docteur Caïus, le célèbre médecin français.
Vive Tieu et la passion de mon cœur ! j’aimerais autant vous ouïr parler d’un plat de pouillie.
Pourquoi ?
Il n’en sait pas plus long sur Hibbocrate et sur Galien, et puis c’est un coquin, le plus lâche coquin que vous puissiez désirer connaître.
Je vous garantis que c’est lui qui devait se battre avec le docteur.
Oh ! suave Anne Page !
Ses armes le donnent à croire en effet… Retenez-les l’un l’autre… Voici le docteur Caïus.
Ah ! mon bon pasteur, rengaînez votre épée.
Et vous la vôtre, mon bon docteur.
Désarmons-le, et laissons-le discuter : qu’ils conservent leurs membres intacts, et qu’ils hachent notre anglais !