Donnez-moi ma robe, je vous prie ; ou plutôt non, gardez-la à votre pras.
C’est vous, maître pasteur ! Bon jour, bon sir Hugh. Voir un joueur loin de ses dés et un savant loin de ses livres, c’est merveilleux.
Ah ! suave Anne Page !
Dieu vous garde, bon sir Hugh !
Qu’il vus pénisse tous en sa merci !
Quoi ! l’épée et la parole ! Vous possédez donc l’une et l’autre, maître pasteur ?
Et vêtu comme un jouvenceau ! en pourpoint et en haut-de-chausses par ce froid jour des rhumatismes !
Il y a des raisons et des causes pour ça.
Nous sommes venus à vous pour une bonne œuvre, maître pasteur.
Très-pien. De quoi s’agit-il ?
Il y a là-bas un très-respectable gentleman qui, sans doute ayant reçu une offense de quelqu’un, foule aux pieds la gravité et la patience avec un emportement inouï.
J’ai vécu quatre-vingts ans et plus ; mais je n’ai jamais