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SCÈNE VII.

evans.

Donnez-moi ma robe, je vous prie ; ou plutôt non, gardez-la à votre pras.

Entrent Page, Shallow et Slender.
shallow.

C’est vous, maître pasteur ! Bon jour, bon sir Hugh. Voir un joueur loin de ses dés et un savant loin de ses livres, c’est merveilleux.

slender, soupirant.

Ah ! suave Anne Page !

page.

Dieu vous garde, bon sir Hugh !

evans.

Qu’il vus pénisse tous en sa merci !

shallow.

Quoi ! l’épée et la parole ! Vous possédez donc l’une et l’autre, maître pasteur ?

page.

Et vêtu comme un jouvenceau ! en pourpoint et en haut-de-chausses par ce froid jour des rhumatismes !

evans.

Il y a des raisons et des causes pour ça.

page.

Nous sommes venus à vous pour une bonne œuvre, maître pasteur.

evans.

Très-pien. De quoi s’agit-il ?

page.

Il y a là-bas un très-respectable gentleman qui, sans doute ayant reçu une offense de quelqu’un, foule aux pieds la gravité et la patience avec un emportement inouï.

shallow.

J’ai vécu quatre-vingts ans et plus ; mais je n’ai jamais