— Quel est le sort qui attend le duc de Suffolk ?
— Par l’eau il périra et trouvera sa fin.
— Qu’arrivera-t-il au duc de Somerset ?
Qu’il évite les châteaux : — il sera plus en sûreté sur les plaines sablonneuses — que là où se dressent les châteaux. — Finis, car je ne puis endurer davantage.
— Descends dans les ténèbres et dans le lac brûlant. — Démon perfide, disparais !
— Mettez la main sur ces traîtres et sur leur friperie. — Commère, je crois que nous vous avons surveillée de près… — Quoi ! madame, vous ici ! Le roi et l’État — vous sont grandement redevables pour tant de peines ; — milord protecteur veillera, je n’en doute pas, — à ce que vous soyez bien récompensée pour ces bonnes œuvres.
— Elles ne sont pas aussi préjudiciables que les tiennes au roi d’Angleterre, — duc insolent qui menaces sans raison.
— En effet, madame, sans la moindre raison. Qu’appelez-vous ceci ? — Qu’on emmène ces gens ; qu’on les fourre en lieu sûr, — et qu’on les tienne séparés… Vous,