Pas un à jeter aux chiens !
Non, tes mots sont trop précieux pour être jetés aux chiens, mais jette-m’en quelques-uns. Allons, lance tes raisons à mes trousses.
Il n’y aurait plus alors qu’à enfermer les deux cousines, l’une étant estropiée par des raisons et l’autre folle par déraison.
Est-ce que tout cela est pour votre père ?
Non, il y en a pour le père de mon enfant. Oh ! combien ce monde de jours ouvrables est encombré de ronces !
Bah ! cousine, ce ne sont que des chardons, jetés sur toi dans la folie d’un jour de fête ; si nous ne marchons pas dans les sentiers battus, ils s’attacheront à nos jupes.
De ma robe je pourrais les secouer ; mais ils sont dans mon cœur.
Expectore-les.
J’essayerais, si je n’avais qu’à faire hem ! pour réussir.
Allons, allons, lutte avec tes affections.
Oh ! elles ont pris le parti d’un lutteur plus fort que moi.
Oh ! je vous souhaite bonne chance ! Le moment vien-