Adieu, adieu.
Allons, adieu. Il y a vingt-neuf ans, viennent les pois verts, que je te connais ; pour un homme plus honnête et de cœur plus sincère !… Allons, adieu.
Mistress Troue-Drap !
Qu’y a-t-il ?
Dites à mistress Troue-Drap de venir trouver mon maître.
Oh ! cours, Doll, cours, bonne Doll.
— Va appeler les comtes de Surrey et de Warwick ; — mais, avant qu’ils viennent, dis-leur de lire ces lettres, — et de bien les examiner. Dépêche-toi.
— Combien de milliers de mes plus pauvres sujets — sont à cette heure endormis ! Ô sommeil, ô doux sommeil, — tendre infirmier de la nature, quel effroi t’ai-je causé, — que tu ne veux plus fermer mes paupières — et plonger mes sens dans l’oubli ! — Pourquoi, sommeil, te plais-tu dans les huttes enfumées, — étendu sur d’incommodes