nous, — pour sauver nos têtes, de lever la tête. — Car, si humble que puisse être notre attitude, — le roi se croira toujours notre débiteur — et verra en nous des mécontents, — jusqu’à ce qu’il ait trouvé moyen de régler notre compte. — Et voyez déjà, comme il, commence — à éloigner de nous ses bonnes grâces.
— En effet, en effet ; nous serons vengés de lui.
— Adieu, mon neveu… En tout ceci suivez exactement — la marche que vous indiqueront mes lettres. — Quand le moment sera mûr, et ce sera prochainement, — j’irai trouver secrètement Glendower et lord Mortimer. — Alors, vous, Douglas et nous, — nous réunirons heureusement nos troupes, conformément à mon plan, — pour soutenir de toutes nos forces notre fortune — qui maintenant chancelle entre nos mains.
— Au revoir, mon bon frère ; nous réussirons, j’en ai confiance.
— Adieu, mon oncle… Oh ! puissent les heures être courtes — jusqu’au moment Où les champs de bataille, les coups et les gémissements feront écho à nos ébats !
Ohé ! s’il n’est que quatre heures du matin, je veux être pendu. Le Chariot est au-dessus de la cheminée