— Très-noble César !… Nous vengerons sa mort.
— Ô royal César !
Écoutez-moi avec patience.
Paix ! holà !
— En outre, il vous a légué tous ses jardins, — ses bosquets réservés, ses vergers récemment plantés — en deçà du Tibre ; il vous les a légués, à vous, — et à vos héritiers, pour toujours, comme lieux d’agrément public, — destinés à vos promenades et à vos divertissements. — C’était là un César ! Quand en viendra-t-il un pareil ?
— Jamais ! jamais. Allons, en marche, en marche ! — Nous allons brûler son corps à la place consacrée, — et avec les tisons incendier les maisons des traîtres ! Enlevons le corps.
Allons chercher du feu.
— Jetons bas les bancs.
— Jetons bas les siéges, les fenêtres, tout !
— Maintenant laissons faire. Mal, te voilà déchaîné, — suis le cours qu’il te plaira.
Qu’y a-t-il, camarade ?
— Monsieur, Octave est déjà arrivé à Rome.