— Un miracle, maître ! voilà une étrange trogne qui s’est écorché le tibia.
— Quelque énigme ! quelque charade ! Voyons ! ton envoi ! commence (37). —
Pas d’énigme ! pas de charade ! pas d’envoi ! Oh ! monsieur ! Pour panser, le plantain, le simple plantain, est ce qu’il y a de meilleur.
Par la vertu, drôle, tu rends le rire irrésistible ; ta bêtise désopile ma rate et, en soulevant mes poumons, provoque chez moi un sourire sarcastique. Oh ! mes étoiles ! pardonnez-moi ! L’imbécile prend un envoi pour un onguent et se figure qu’il peut servir à panser !
Eh ! l’imbécile parle comme un sage. Dans un envoi est-ce qu’il n’y a pas de quoi penser ?
— Non, page. L’envoi est un épilogue ou discours destiné à expliquer — quelque chose d’obscur qui vient d’être dit — Je vais citer un exemple :
Le renard, le singe et le bourdon
Faisaient un nombre impair, n’étant que trois.
— Voilà les prémisses. Maintenant l’envoi.
— Je vais ajouter l’envoi. Redites les prémisses,.
Le renard, le singe et le bourdon.
Faisaient un nombre impair, n’étant que trois,