— Viens, mon brave, couvre-moi de fer. — Si la fortune n’est pas pour nous aujourd’hui, c’est — que nous la bravons… Allons !
Ah ! je veux aider, moi aussi.
— Où se met ceci ?
Ah ! laisse ça, laisse ça… Tu es — l’armurière de mon cœur… Tu te trompes, tu te trompes !… Ceci ! ceci !
— Doucement ! là ! je veux vous aider… Voilà comment ça doit être.
Bien, bien ! — Nous réussirons à présent… Allons, mon brave, — va t’équiper.
Tout de suite, Sire.
— Est-ce que ce n’est pas bien bouclé ?
À merveille, à merveille ; — celui qui débouclera ceci avant qu’il nous plaise — de l’ôter pour nous reposer, aura entendu une tempête… — Tu tâtonnes, Éros, et ma reine est un écuyer — bien plus adroit que toi… Dépêchons-nous. Ô mon amour, — que ne peux-tu me voir combattre, aujourd’hui, et assister — à mes royales occupations ! tu verrais — quel ouvrier je suis ?