Ce n’est pas lui, j’espère.
— Ce n’est pas lui. Pourtant il pourrait se montrer plus reconnaissant — des bontés du ciel à son égard. Bien doué personnellement, — il a reçu en vous, que je regarde comme son bien, un don inestimable… — Mais, tout en étant forcé à l’admiration, je suis forcé aussi — à la pitié.
À la pitié pour qui ?
Pour deux créatures que je plains cordialement.
En suis-je une, monsieur ? — Vous me regardez ! Quel désastre discernez-vous en moi — qui mérite votre pitié ?
Lamentable ! — Quoi, déserter le rayonnant soleil, et se plaire — dans un bouge auprès d’un lumignon !
Je vous en prie, monsieur, — énoncez plus clairement vos réponses — à mes questions. Pourquoi me plaignez-vous ?
— Parce que d’autres, — j’allais vous le dire, jouissent de votre… Mais — c’est l’affaire des dieux d’en tirer vengeance, — et non la mienne d’en parler.
Vous paraissez savoir — quelque chose qui me concerne. Parlez, de grâce ! — La crainte d’une catastrophe est souvent plus douloureuse — que sa révélation : car,