— Eh bien ! à quoi penses-tu, que tu ne m’as pas aidé ? — Par le ciel ! le duc apprendra comme tu as été lâche.
— Que ne peut-il apprendre que j’ai sauvé son frère ! — Prends, toi, toute la récompense, et répète-lui ce que je dis : — Je me repens de l’assassinat du duc.
— Et moi, non !… Va-t’en, couard que tu es !
— Maintenant, je vais cacher le cadavre dans quelque trou, — jusqu’à ce que le duc donne des ordres pour sa sépulture ; — et, quand j’aurai reçu mon salaire, je décampe : — car ceci va s’ébruiter, et alors je ne dois pas être là.
— C’est cela… Allons ! j’ai fait un bon travail aujourd’hui. — Vous, mes pairs, conservez l’union que je viens de former. — J’attends chaque jour une ambassade — de mon Rédempteur pour me racheter de ce monde, — et mon âme partira plus paisible pour le ciel — puisque