Monseigneur, tout ce qu’il est en notre pouvoir de faire — votre majesté peut le commander d’un mot, — sans employer la persuasion, à ses hommes liges, liés envers elle — par le dévouement, la loyauté, l’obéissance.
Ce que nous pourrons faire pour vos majestés, — afin de connaître la douleur qui égare le prince votre fils, — nous l’essayerons de notre mieux. — Sur ce, nous prenons congé de vous en vous rendant hommage.
Merci, Gilderstone ; merci, gentil Rossencraft.
Merci Rossencraft ; merci, gentil Gilderstone.
Monseigneur, les ambassadeurs sont joyeusement — revenus de Norwége.
Tu as toujours été le père des bonnes nouvelles.
Vraiment, monseigneur ? — Que votre grâce soit sûre — que mes services, comme ma vie, sont voués — en même temps à mon Dieu et à mon roi souverain. — Et je crois (à moins que ma cervelle — ne sache plus suivre la piste d’une affaire aussi bien — que d’habitude) que j’ai découvert — le vrai fond du dérangement d’Hamlet.
Fasse Dieu qu’il dise vrai !
Eh bien ! Voltemar, quelle est la réponse de notre frère de Norwége ?