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ÁDO iiuml lai ;

est beau de mourir quand des princes îïieuÿent ai=êc nous' et quand à nos consciences ; leš amies sont legitirnes, quand la cause qui les fait prendre est juste :- (Entre un autre messágeî.)

LE Mišssmnn.-Prepãrèz-vous, milord ; le i*cîi šailauce it grands pas.

norsvüu.-J e le teïnercie de venir iñtëi*iñmpre ma hafãngtle ; cai' je ne suis pas loft pouillé discours. Seulement ce mot : que chacun [asse de son mieliii. Moi, jc tire ici une épée deiit je veiik teiiidfe le fer dans le meilleur sang que pétriront ine faité rencontrer les hasards de ce jour périlleux. Maintenant, esperarice ! Percy ! et n1au’chons. Faites3 retentir tous vos bruyants instruments de guerre, et zliî šbñ de cette inüšique emlirässons-nous tous ; car je gagerais le ciel cohtre la teiire qu’il y en aura quelques-iiiis île nous qui ne se feront plus une pareille amitié.

(Les trompettes sonnent ; xls s’embrassent ët šoi-tenh) SCÈNE III

Une plaine près de Sha-ewsbxiry..

ï'|-oupes qui passent et repassent, éscarinouchešz signal fÎe Al bataille. Ensuite paraissent DOUGLAS ET BLOUNT. 1iLeüN’i'==-Quel esttoii noni, à Lei, qui croiseš ainsi mes pas dans 1a mêlée ? Quel lionmm < ;11ë1*@11¢s-ru a reinfiortëi* sur moi ?

uoucμss.-Apprends que mon hein est Douglas ; et tu me vois sans relâche attache a tee pas parce qu’on m’a clitqüe tu @tais 1-oi.

nLo1iNî*.-On t’à (lit la iferite.

DOUGLAS.—LG lord Stalford a payé cher au ]oi11id’li1ii ta tessenililalîcè. Car à ta place, roiHe111*i, il zi péri par ëetlë epéë. Il t’eîi arrivera autant si tu ne te rends pas mon prisoîiigier..

iånoiriiff.-Je ne suis pas ne de ceux qui se fèhiîeht,