Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/483

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. » sors iv, soiiuii Iv. 481

, HOTSPUB.¿JB viens au fàit.-Peu de temps après, il depose le roi ; et puis bientôt il lui ôta la vie ; et immédiatement après charges. l’Étatd“impôts universels ~ Bien pis encore, il a soutîert 'que son parent, le comte des Marches (qui, si chaque homme était et sa place-et dans ses droits ;-serait son 'roi légitime) demeuráprisonnier dans ler province de Galles, pour y être oublie sans rançon. Il m’a disgracie, moi, au milieu de ine ; heureuses victoires ; il a cherche par ses artifices it me faire tomber dans le piège ; ila exclu mon oncle du conseil ; il a congédie : avec fureur mon père de sa cour ; il a violé serment sur serment, commis injustice sur injustice. A la fin ; en nous repoussant, il nous a contraints de chercher notre sûreté dans la=force=de cette armée, et, aussi d’examiner un peu sontitre que nous trouvons trop équivoque pour durer longtemps- -,

—BLOUNT.—Pmfllildlïtl- jEš cette réponse au roi ?. “

HorsPUn.4Non pas de cette manière, sir Walter ; nous

allons nous consulter pendant quelque temps. Retournez auprès du roi ; (1l1711 engage quelque garantie qui assure le retour, et demain malin de bonne heure, mon oncle lui portera. nos intentions : j’ai dit ; adieu. BLOÎJNT.-Je çlesire que vous acceptiez les offres de sa clémence et déson. àInitie. ` ^-Horsrun.-Il se peut que nous les acceptions.

BLOUNT.-Dieu veuille qu’il en soit ainsi. * , ~ (Ils sortent.)

SCÈNE IV '

" York.—Un appartement dans la maison de Farcbevêque. f Entrent LCÁARCHEVÊQUE D’YORK ET UN GENTIII ' « - HOMME. — `

= L, ARCI-ÎEVÊQUE n’YoP.K.éFaites diligence, mon bon sir Michel  : prenez des elles pour porter rapidement cette lettre scellée dé mon cachet au lord Marechal, celle- ci il HIGH cousin Scroop, et toutes lesn autres aux personnes 1' vr ' :JL

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