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›. 1 C ? s f . ' Aces QUATRIÈME , 11 soeur : 1 7 Le camp des rebelles près de Shrewsbury. * Entrenî HOTSPUR, WORCESTER, DOUGLAS H Hofpsvun ;-Très-bien parlé, mon noble Éeossais. Si la vérité dans se siècle poli n’était pas prise pour la flatlieri on pourrait dire de Douglas qu’il n’est point de notre temps un guerrier dont le nom parcoure aussi générale nient Tunivers. Perle ciel, il m’est impossible de flatter.: je dedaigne le doucereux langage des courtisans ; mais il n’est point d’homme qui occupe une plus belle place que vous dans mon cœur et mon amitié. Oui, sommez moi de ma parole, éprouvez-moi, milord. noUGLAs.-Tu es roi de l’honneur.-Il n’est point sur la terre d’homme si puissant que je ne sois prêt à. lui tenir tête. I:IOTSPUR.-N, Y manquez pas, tout sera au inieuxfe(Entre un messager.) Quelleslettres as-tu la ?-(À Douglas.) J e ne sais que vous remercier. LE MESSAGER.—-CBS lettres viennent de votre père. `norspun.-fDes lettres de lui I Pourquoi ne vientfil pas luilmême ? ` * LE iliiassileian.-Il ne peut venir, milord ; il est dangereusement malade. Horst-Un.-Morbleul comment a-t—il le loisir d’être malade, au moment de se battre ?-Qui conduit ses troupes ? Sous le commandement de qui nous arrivent elles ? — «