Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/421

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- -. AGTEDEUXIÈME .. I › K .  » sesixis 1* Ro chester.-Une cour d’auber-ge. Entre UN VOITURIER avec une lanterne à, la maifn. ¿ PREMIER vorrumnn.—Holåii ho ! s’il n’est pas quatre heures du matin, je veux que le diable m’emporte. Le chariot paraîl déjà, au-dessus de la cheminee neuve, et notre cheval n’est pas encore charge. Allons, garçon l-LE VALET D, ÉGURIE, derrière le t/^t¿cEm*e.—On y va, on y va. PREMIER vorrnmsn.-Ohl je t’en prie, Thomas, batsmoi bien la selle de Gut, et mets un peu de bourre dans îesupoiutes ; car la pauvre rosse, est écorchée sur les épaules que cela passe la permission. * (Entre un autre voiturier.) ' secoue voirnmnn.-Les pois et les fèves sont humides ici comme le diable, et voilà le moyen tout juste de donner des tranchées à ces pauvres rosses. Cette maisonci est toute sens dessus dessous depuis que Robin le palefrenier est mort. PREMIER voiruiusu.-Le pauvre garçon n’a pas eu un moment de joie depuis que les avoines ont augmenté de prix ; ça lui a. donne le coup de la mort. secoue vorrnmsn.-Je crois que cette auberge-ci est pour les puces la plus infãme qu’il Y ait sur la route de Londres..Pen suis piquets comme une hanche. ' ` PREMIER VOITURIER.-GOIILÎHB une tanche ? Par la messe, je ne crois pas que roi dans la chrétienté puisse être 1