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sujet est maintenant jurés à Bolingbroke, dont je reconnais pour toujours laf puissance et’les droits. (Entre Aumerlo.)

LA nucmzssn n’ronK.-Voici mon fils Aumerle. roux.-Il fut-Aumerle jadis, mais il a perdu ce titre pour avoir été 1'ami de Richard, et il faut désormais, madame, que vous l’appeliez Butland. Je 'suis caution, devant le parlement, de sa fidehlé et de sa ferme loyauté envers le nouveau roi.

LX nucnnssn n’YonK. — Sois le bienvenu, mon hls. Quelles sont les violettes parsemées maintenant sui* le sein verdoyant du nouveau printemps ? j Amiante.-Madame, je Pignore et ne m’en 6lIlÎJ€ll’I ;£ÎÊS’G guère : Dieu sait qμ'il m’est indifférent d’eri être ou de n’en pas être.

Yofix.-À la bonne heure ; mais comportez-vous bien dans cette saison nouvelle, de peur çl’être moissonne avant le temps de la maturité. Que dit-on d’Qxford ? Les joutes et les fêtes continuent-elles ? Arjtinripfi.-40uj, niilord, a ce que j’ai ouï dire.-YORK.-Vous y serez, je le sais. «

wimiirn -Si Dieu ne s’y oppose, c’est riîon dessein. Yoan.-Quel est ce sceau qui pend de tan seiit1* ?-Eh quoi- ! tu palis ? Laisse-moi voir cet écrit. aunsncn.-Milord, ce n’est rien.

« ions.-Endöe cas, peu importe qnlon le voie ; ;Îe Veux être satisfait : voyons cet écrit. AUMEBLEI.-@J e conjùre Votre Grâce dë nféièušer : c’est un écrit de peu d’impoi*tance, que j’ai quelque raison de tenir cache.

roux.-Et nioi, monsieur, que j`¿ii quelque raison de vouloir connaître. Je crains.... je crains.... LA nucenssn Jÿronn.-Eh ! que pouvez-vous craindre ? Ce ne peut être que quelque engagement qu’il aura contracté pour ses parures le jour du triomphe. Yona.-Quoi ! un engagement avec liú-même ? Gom—1 ljusage était alors, comme on sait, fî'apposer.ai1x actes ie sqçau suspendu par une bande de parchemin.