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L f " AGTE’II, sojsnsrvl ; 35 maison.-@Paridè bâton" de Jacob, jejurë que je ne me sens nulle envie d’aller ce soir zi un festin en ville ; cependant j’irai.-Vous, drôle, prenez les devants, et annoncez que je vais Y aller. LANCELOT.-Je vais vous précéder, monsieur. (Bas it Jessica.) Maitresse, malgré tout ce qu’il dit, regardez àla fenêtre ; vous verrez. approcher un chrétien, qui mérite bien les regards d’une Juive. ~ (Lancelot sort.) t surnocx.—=Hél que vous dit cet imbécile de la race d’Agar ? t, '. ánssien.-11 me disait : Adieu, maîtresse ; rien de plus. If sinrnocx.-Ge Jeannot›là.1 est assez bon homme, mais gros mangeur, lent au «projet comme une vraie tortue ; et dormant dans le jour plus qi1`un chat sauvage. Les frelons ne bâtissent pas dans ma ruche : ainsi je me sépare de lui, pour le céder à un homme que je veux qu’il aide zi dépenser promptement Yargent qu’il m’a emprunté.-Allons, Jessica, rentrez. Peut-être reviendrai je sur-le-champ : Faites ce que je vous recommande : fermez les portes sur vous. Bien attache, »bien retrouve : c’est un proverbe qui ne vieillit point pour un esprit économe. « ` * », (Il sort.) Jrassrem.-Adieu.-Et, si la fortune ne m’est pas contraire, j’ai perdu un père, et vous une fille. «

` , (Elle sort.)

SCÈNE VI Toujours au même lieu. GRATIANO nr SALARINO masqués. Gnsrmvo.-Voici le hangar sous lequel Lorenzo nous a dit de Pattendre. I ` ›fii Tite Patch. Pair-h-était, à. qe qu’il 'parait, le fou du cardinal Wolsey, dont le nom était devenu proverbial comme Pest parmi nous celui de Jeannot ou de Jocrisse. ›