Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/325

Cette page n’a pas encore été corrigée

Acti : iî, sešmî 1. 32-3

Îîöiiil iriöî Fèšsëhlble à, celui îl’HeÎ*eford§ ët lè miëh est cbmnîe le leui*.... Que leš Choses šôiéfit te 'qu'ëlles.sontg (Entré îïortfiuinberlandj

i\iÖ11'f'1ãiiÎ\ÎBi2Ri, AND.l4i\Îon šöiiyëiaiîi, le yáeùli `Gaiint sîå rëcomnâandé aú soutenir de Votre Majesté : « V 1i1cHÀ1åD.2ï-Qiië C1it›il maihtehänt ?

1$0HTHUMBERi.ANú:>Rien Êri*gii1i1'ê1i1 :*. Tout est Î1it ;- sã langue est niãihtenaîit un instrument sans cercles : le ifieux Lãncàstre à depense vie, paroles, et tout le reste. ¿ Yonx.-Qi1`Yoi*k soit après lui le premier qui fåssè ainsi banqueroute ! Là mort, tout indigente qu’elle est ; nïët uîi teñne à fles*c1'ouleurs nioi’tellés. * n A 1i1cHAnn.-Le fruit lê plus múl* tombe «le premier : àiïiši fait-il ; c’ešt son tour, son tenips est passe : c’est beliii de notre 1/óÿašfé ã ïi'öuš 'áútrësz Cfián est assez là.i1essu’s.-Màinieñaiit sfinÿèoiiš ã îrilos guerres’df1i*ianÎle.

Il nbhš faut chasšer 'ces sauvåïgeš Keiiiïes ä la bllevïzliiÿeórépue, “Qui existent coifniïie min veniñ *là ou 1i’a la-p’eî'l ñfiission de résider àucuri áútrë iverîin qu’euxllfiî§ iiîes"= Et pour cette importante îexpéïïlitibn, nous aîfoins besoin de suhsicïes ciúi nous äiiient ã la soutenir É úous 'såisisfi sons donc Páargenterie ; Paiigelit mbiinaÿé, les -rëvehifs et le m’ôbi1ierÈ1i1è pbššédàit ñoîre oiïcle Gaúiit : YORK.¿¿.ÎL1Si’î1l€S ã lïuaiad serai-je patient ? G0}:11bÎ'è11 'de tenips encore mon tendre attz1ch’emeï1t et inoú 'deifoir me fer’a=L1il Supporter 1'ii1ju’st ice 'Br Ni la mort clé 'Gló'ó'èSÎeï*, ni le bannissement d, HGI`8f0I’d, ni1ešafi’roni ; s dé Géiunt, iii les îilèfux 'dbm’estique’s de 1'Anšleteri*e, ni les eñripel èhemëhts appôrtiès en märiàge de ée paiiïfïe Bólingfl brökefi, ni nie 'pîiopre dîsgrâce, n’oi1t ]'àinE1is*appo1¿té une nuazïcïe d’aigi*eúr sur fnbïi wiisaše soumis, ñ'e m’oi1t ja-Ihaisåfaiiz portel* š{fi*'1110n sóïμielàtiñ un. regard ifrife.-=1Îè suis le dernier des filš du noble Édouard, dont toii père, 1 Il était de tradition que, fèrâcè 'à la protection de sain’tPa. trick ; aucun animal ven 1m’eux ne 'pouvait vivre en Irlande.

2 Il full : question, dit-on, ' pendant l'8Xll du duc d’Hereford en

Îfranîce de lui donner en mariage la fille du dub dk : Béri*y, ?mà“ià Richard s’y'opÿosa.

  • i