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t’a toujours servi suif la' terre.4Vous, astres" de 1'-Angle terre, maintenant rentres dans votre sphère régulière, où sont vos troupes ? Montrez actuellement le retour de votre fidèlité, et revenez” sans délai avec moi repousser la destruction et Peternelle ignominie hors des faibles portes de notre patrie languissante ! Cherchons à l’instant l’ennemi, où il va nous chercher lui-nrême : le dauphin accourt en furie sur nos talons. Q* `

sAL1snunv.7Il paraît que vous nl-Êtes pas instruit de

tout ce que nous savons. Le cardinal Pandolphe est si se reposer dans Pabbaye, où il est arrive il y a une demi heure apportant de la part du dauphin, dispose a abandonner sur«le-champ cette guerre, des offres de paix que nous pouvons accepter avec honneur et avec avantage. «

LE sultan.-Il l’abandonnera bien mieux encore lorsqu’il nous verra bien rallies pour la défensei siusnuarll-Mais tout est en quelque sorte fini : il a déjà fait transporter sur les côtés quantité de bagages et remis sa cause et ses prétentions entre les mains du cardinal, åiec qui, si vous le jugez a propos, vous et moi et les autres seigneurs, nous partirons en diligence cette après-dinee, pour achever de terminer heureuse-1nent’cette zifiaire.

LE Hitman.-Soit.-Et vous, mon noble prince, avec ceux des grands dont ôn peut le mieux se passer, vous resterez pour les obsèques de votre père. › — Hl.l\11[ -Clest à Worcester que son corps doit être enterre, car c’est ainsi qu’il l’a ordonné.

. LE BATARD.-Il faut donc l’y conduire.—Et vous, cher prince, puissiez-vous revêtir avec bonheur le sceptre héréditaire et glorieux’de ce royaume ! G’est avec une soumission entière que je vous transmets à genoux mes fidèles services, et ma soumission éternellement invio-Qlïtblû. J

sxL1snUar.*Et nous vous offrons de même notre affection, qui demeurera désormais sans tache.

Hnzgm.-J’ai une ame sensible qui voudrait vous remercier, et ne sait le faire que par des larmes. \