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ACTE iv, sœur vi. 181

jusque ce que je fusse aplati comme une poire tapee. J e n’ai’jamais prospère depuis le jour où je trichai àla prime.ëoui, si j’avais Phaleine assez longue pour dire mes prières, je ferais pénitence.

(Entre Quickly.)

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FALSTAFF. -Ah ! vous yoila ? De quelle part venez-vous ?

  • QUIGKLY.-De la part de toutes deux, ma foi.

F !&LSTAFF.—QUE le diable prenne l’une, et sa femme l’autre : elles serbnt toutes deux bien pourvues J `ait plus souffert pour l’amour d’elles, que la malheureuse inconstance du cœuinde Phomme ne me permet de supporter. QUIQKLY.-Et n’ont-elles rien souffert ? Si fait, je vous en réponds. L’une (Telles surtout, mîstriss Ford, la bonne âme, est bleue et noire de coups, a ce qu’on ne lui voie pas une place blanche sur tout le corps. ÉALSTAFF.—Que me par les-tu de bleu et de noir ?.Pen ai, moi, de toutes les couleurs de Parc-en-ciel à force d’avoir été battu. J 'ai risque même d’étrè appréhendé au corps pour la sorcière de Brantford. Sans l’adresse admirable avec laquelle j’ai su prendre tout a fait les manières d’une simple vieille, ce gredin de constable me faisait mettre aux ceps comme sorcière, aux ceps de la canaille.

QlJIGKLY.¢PG1`IlÎlBU2BZ, sir John, que je vous parle dans votre chambre ; \fous apprendrez comment vont les affaires, et je vous reponds que vous n’en serez pas mécontent : voici une lettre qui vous en dira quelque chose. Pauvres gens, que de peines pour vous menager une rencontre ! Súre1nentl’un de*vous ne sert pas bien le ciel, puisque vous êtes si traversés.FALs'1*ArF.-Montez dans ma chambre.

4 ~ i  ', — - A (Ils sortent.)

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  r SCÈNE V1 *~ A
' à Line autre pièce dans l’ii6sellerie de le Jarretièret V

“ Entrent FENTON ET L’HOTE.

L’HOTE.—NB me parlez point, monsieur Fenton : j’ai trop de chagrin ; je veux tout laisser la. 1