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1741 LES Bouseeoises ne wmnson. jugent dans leur sagesse que ce pauvre gros mauvais sujet de chevalieiune soit pas encore assez puni, nous continuerons d*être les ministres de la vengeance. V iuisrmss sono.-J e vous garantis qu’ils voudront lui en faire publiquement la honte. Quant à moi, je pense que la raillerie ne serait pas complète si on ne la terminait par un afifront publie. —-Mxsriuss meuf-Allons donc tout de suite mettre les fers au feu, et ne laissons rien refroidir. ', (Elles sortent.)

serum III

Une pièce dansÿhôtellerie de la Jarretière. Entrent L’I-IOTE ET BARDOLPH.BAI\DOLP}I.—MOIISÎBLIP, les Allemands vous demandent trois chevaux. Leur duc, en personne, arrive demain zi la cour, et ils vont au-devant de lui. rfinùfre.-Qu’est-ce ? Quel est ce due qui voyage si secrètement ? Je n’ai pas entendu dire qu’il vint zi la cour. Fais-moi parler avec ces étrangers. Ils parlent anglais ? BARDOLPII.-Olll, monsieur, je vais vous les envoyer. ijnùria.-Ils auront mes chevaux, mais ilsles payeront ; je les epicerai. Ils disposent de ma maison depuis huit jours, et j’ai delogé pour eux mes autres hôtes. Il faut qu’ils payent, je les arrangerai. Allons, viens. ` (Ils sortent.)

SCÈNE IV

Une pièce dans la maison de Ford. entrent PAGE, Fonn, MISTRISS PAGE, MIS'1'RlSS FORD ET SIR HUGH EVANS.

Evans.-C’est bien la la plus belle invention féminine que j’a1e jamais rencontrée.

race.-fEt il vous a fait remettre ces dem : lettres en même temps ?

tusrmss PAGE.-Dans le même quart d’heure. (\ l