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`AC TE lv, scène 1. 165

ooicm.v.¢Vrain1ent, j’au1~ais cru que les noms étaient impairs, canon dit : ; pair ou no n*. ' EVANS.-Finissez votre habil. Qu’est-ce que c’est hlauc', William ?

WILLIAM.-Albus.

Qulexcv.-Arbuste ? Qui estfce qui a jamais vu un arbuste hlanc ?,

Evms.-Vous êtes la femme la plus simple ; taisez vous, je vous prie. Qu’est-ce que c’est lapis, William ? WILLIAM.-UDG pierre.

EVANS.—El, qu’est-ce que c’est une pierre, William ? WVILLIAM.-"UD caillou. c

Evans.:-Non, c’est tapis. Je vous prie, mettez cela dans votre cervelle.,

w1LLIAM.-Lapis. J

' EVANS.—C’est bon, Williams William, qui prête les articles ?

WlLLlAM.ÿL6S articles sont empruntés du pronom, et on les décline ainsi : Singutariter, nominative : His, haec, hoc.

Evans.—Nomfmativo, hic, fixe, hoc. Je vous en prie, faites attentionl Genit1Zvo, hujus. Bien ! qu’est-ce que c’est que l’accusatif* ? — Ê

—wxLLxAM. ;Acc1isativo, Iwmc. t

Eviuvs.-Je vous en prie, rappelez-vous, enfant. Accu-sativog hzmc, Iumc, hoc. “ Qulexcv.-Hein, quand, coq. C’est du latin pour la basse-cour, sur ma parole =.

izvims.-Cessez, vos bavardages, la femme. Qu’est-ce que c’est que le cas vocatif, William ? 1 Od/s non.ns. Les méprises de Quickly provenant ou des défauts de prononciation d’Evans, ou de certaines consonnances entre les mots latins et quelques mots anglais d’un sens différent, ne peuvent se ren’dre littéralement.

  • 2 Albus. C’est sur le mot pulcher qu’Evans interroge William.

Quickly entend polcats (patois) et s’écrie qu’il y a des choses plus belles que les putois.

5«Hein, quand, coq.» Evans, dans le texte, au lieude hzmc, hemc, hoc, prononce hing, bang, hog, et Quickly dit que havjtg hog(pendez le cochon) est en latin pour faire du’Zm-cl (latin for bacon). t